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Le roman d'Aladin

Anonyme
Éditeur: LIBRETTO
Date de parution 30‏/08‏/2002
Traduction intégrale à partir des manuscrits originaux arabes par René R. Khawam(XIe siècle)On connaît l'histoire d'Aladin à travers le « canevas » qu'en proposa voici près de trois siècles Antoine Galland dans ce qui fut la première édition des Mille et Une Nuits ; ou à travers la dernière mouture arabe des mêmes Nuits (Le Caire, 1835), fort édulcorée par les vénérables cheikhs de l'époque – et d... Voir la description complète
8,70€
Disponibilité Disponible
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CARACTÉRISTIQUES
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9782859408473
Date de parution30‏/08‏/2002
Poids187 g
Dimensions1٫60 x 12٫20 x 18٫50 cm
Common books attribute
AuteurAnonyme
SérieLittérature étrangère
ÉditeurLIBRETTO
CollectionLittérature étrangère
Nombre de pages222
FormatLivre broché / couverture souple
Langue du livrezx
Description
Traduction intégrale à partir des manuscrits originaux arabes par René R. Khawam(XIe siècle)On connaît l'histoire d'Aladin à travers le « canevas » qu'en proposa voici près de trois siècles Antoine Galland dans ce qui fut la première édition des Mille et Une Nuits ; ou à travers la dernière mouture arabe des mêmes Nuits (Le Caire, 1835), fort édulcorée par les vénérables cheikhs de l'époque – et dont le Dr Mardrus s'inspira pour sa traduction à la fin du siècle dernier. Voici pour la première fois Aladin débarrassé de ses habits d'emprunt et revêtu de son costume d'origine. Et c'est un autre héros, et une autre oeuvre, qui nous sont soudain offerts. Car le texte qu'on nous présente ici est à l'évidence antérieur de deux bons siècles aux Mille et Une Nuits (auxquelles il fut rajouté tardivement et par erreur) : René R. Khawam le fait remonter à la fin du XIe siècle. Le génie arabe, alors à son sommet, y parle haut et clair. La décadence n'a pas encore sonné, et le monde s'ouvre largement à l'appétit de connaissance des voyageurs qui font rayonner l'Islam aux quatre coins du monde. L'aventure, on le verra, y trouve son compte. Et le plaisir de lire : peu de textes en effet offrent à la gourmandise de leurs lecteurs une saveur à ce point relevée. Nul doute que celui qui aura goûté, fût-ce du bout des lèvres, à cette nourriture préparée dans les règles de l'art, ne voudra plus qu'on lui en serve d'autres. Le romanesque oriental, qui naît ici sous nos yeux, nous convie d'emblée à son plus fastueux banquet.