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Que s'obscurcissent le soleil et la lumière

Paulin Frédéric
Éditeur: AGULLO
Date de parution 11‏/09‏/2025
" Si la guerre ne finit jamais, qui donc verra la fin des combats ? Qui donc verra la fin des larmes des veuves, de la détresse des orphelins, de la souffrance des pères ? Qui donc, si ce n'est ceux qui sont morts à la guerre ? " Fin d'année 1986, Paris est à feu et à sang. Il faut alors t... Voir la description complète
23,50€
Disponibilité Disponible
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CARACTÉRISTIQUES
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9782382461372
Date de parution11‏/09‏/2025
Poids464 g
Common books attribute
AuteurPaulin Frédéric
SérieAgullo noir
ÉditeurAGULLO
Langue du livreFrançais
FormatLivre broché / couverture souple
Description
" Si la guerre ne finit jamais, qui donc verra la fin des combats ? Qui donc verra la fin des larmes des veuves, de la détresse des orphelins, de la souffrance des pères ? Qui donc, si ce n'est ceux qui sont morts à la guerre ? " Fin d'année 1986, Paris est à feu et à sang. Il faut alors trouver rapidement un coupable pour calmer l'opinion publique. La piste Abdallah, bien que hautement improbable, est choisie, car la raison d'État prévaut souvent sur la vérité, comme le commissaire Caillaux ne le sait que trop bien. À l'international, Michel Nada a fort à faire car les enjeux sont colossaux : la crise des otages qui dure depuis plusieurs années maintenant vient se mêler de manière toujours plus cynique à la course à la présidence de 1988 entre Mitterrand et Chirac. Au Liban, la guerre reprend de plus belle après une brève accalmie, opposant cette fois les chrétiens entre eux, en plus de la lutte fratricide entre chiites, et le pays se retrouve bientôt avec deux gouvernements. Cette macabre comédie cessera-t-elle un jour ? Dans le dernier volet de sa trilogie libanaise, Frédéric Paulin nous emmène jusqu'aux derniers jours d'un conflit long de quinze ans et qui, comme il avait débuté, s'achève dans le chaos, avec, comme toujours, le peuple libanais pour seul véritable perdant.