Traitement en cours...
Paramètres d'accessibilité

Ibn Khaldûn au prisme de l'Occident

Pomian Krzysztof
Éditeur: GALLIMARD
Date de parution 12‏/10‏/2006
Un livre en miroir : Krzysztof Pomian, qui n'est pas un arabisant, mais un historien de l'Europe, aborde Ibn Khaldûn dans une perspective inattendue - en contrepoint de l'Occident. Après avoir mis en relief l'intérêt d'Ibn Khaldûn pour la chrétienté latine, Krzysztof Pomian en esquisse la carte intellectuelle, aux alentours de 1378, date à laquelle Ibn Khaldûn achève la Muqaddima, sa vaste Introdu... Voir la description complète
13,70€
Disponibilité Disponible
Délais de livraison Expédié sous 2 à 3 jours ouvrés
CARACTÉRISTIQUES
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9782070781591
Date de parution12‏/10‏/2006
Poids215 g
Dimensions1٫90 x 11٫80 x 18٫50 cm
Common books attribute
AuteurPomian Krzysztof
ÉditeurGALLIMARD
SérieBibliothèque des Histoires
CollectionBibliothèque des Histoires
Nombre de pages240
Langue du livreFrançais
FormatLivre broché / couverture souple
Description
Un livre en miroir : Krzysztof Pomian, qui n'est pas un arabisant, mais un historien de l'Europe, aborde Ibn Khaldûn dans une perspective inattendue - en contrepoint de l'Occident. Après avoir mis en relief l'intérêt d'Ibn Khaldûn pour la chrétienté latine, Krzysztof Pomian en esquisse la carte intellectuelle, aux alentours de 1378, date à laquelle Ibn Khaldûn achève la Muqaddima, sa vaste Introduction à son grand oeuvre, le Livre des Exemples : de Constantinople à Paris, d'Oxford à Padoue et Florence, à l'heure du Grand Schisme d'Occident. De la présentation de l'histoire de l'islam et l'aristotélisme, une image fraîche et renouvelée se dessine. Passant de la critique historique à la science de la société, Ibn Khaldûn procède ainsi à une "entreprise entièrement neuve" : construire une science et la situer parmi les autres sciences, en la fondant sur l'idée qu'il se fait du temps de l'histoire, du temps des sciences et de l'histoire universelle. Pour finir se dégage ce qui fait le caractère extraordinaire d'Ibn Khaldûn, et les questions qu'il se posait s'avèrent les mêmes que celles que se posaient ses contemporains latins.