Traitement en cours...
Paramètres d'accessibilité

Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne

Auteur(s): Harchi, Kaoutar
Éditeur: PAUVERT
Date de publication 06‏/09‏/2016
Suffit-il d’écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l’ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant le... Voir la description complète
19٫00€
Disponibilité En rupture de stock
Caractéristiques
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9782720215490
Date de publication06‏/09‏/2016
Poids410 g
Dimensions20٫00 x 140٫00 x 220٫00 mm
Common books attribute
Auteur(s)Harchi, Kaoutar
ÉditeurPAUVERT
Nombre de pages306
Langue du livreFrançais
Description
Suffit-il d’écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l’ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu’en plus de ne s’obtenir qu’au prix d’authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n’est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d’autres critères, d’ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.Souvent pensée en termes de talent, de don, de génie, la littérature n’est-elle pas, aussi, une question politique ?