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Delacroix : une fête pour l'oeil

Auteur(s): Sérullaz, Arlette
Éditeur: GALLIMARD
Date de publication 14‏/03‏/2018
Tout à la fois romantique et classique, dilettante et bourreau de travail, solitaire et mondain, Eugène Delacroix a tout peint. Passionnément. D'une vaste érudition, il a trouvé son inspiration chez les plus grands, Shakespeare, Goethe, Byron et Dante. Passant librement du mythe à la réalité, il a traduit les souffrances de son siècle avec une rare puissance imaginative, Les Massacres de Scio, La ... Voir la description complète
16٫00€
Disponibilité Disponible en librairie
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Caractéristiques
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9782072770043
Date de publication14‏/03‏/2018
Poids220 g
Dimensions9٫00 x 130٫00 x 180٫00 mm
Common books attribute
Auteur(s)Sérullaz, Arlette
ÉditeurGALLIMARD
Nombre de pages160
Langue du livreFrançais
Description
Tout à la fois romantique et classique, dilettante et bourreau de travail, solitaire et mondain, Eugène Delacroix a tout peint. Passionnément. D'une vaste érudition, il a trouvé son inspiration chez les plus grands, Shakespeare, Goethe, Byron et Dante. Passant librement du mythe à la réalité, il a traduit les souffrances de son siècle avec une rare puissance imaginative, Les Massacres de Scio, La Grèce sur les ruines de Missolonghi, La Liberté guidant le peuple, symbole à jamais de la révolution. En 1832 au Maroc, il découvre, fasciné, la lumière implacable et l'"Antiquité véritable" ; aquarelles et croquis se multiplient, pour constituer le substrat d'une centaine de tableaux dont les Femmes d'Alger (1834). De retour à Paris, il se voue aux "grandes lumières de la peinture murale" (Assemblée nationale, Sénat), et après avoir versé "tour à tour sur ses toiles inspirées le sang, la lumière et les ténèbres", livre à l'église Saint-Sulpice le dernier combat de sa vie, lui ce voltairien convaincu qui n'a cessé de confier à son Journal, en même temps que ses réflexions esthétiques, ses questions et ses doutes.Arlette Sérullaz et Annick Doutriaux éclairent l'univers de ce peintre-poète dans lequel Baudelaire voyait le "chef de l'école moderne".