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L'oeil du coq

Salim Al-beik, سليم البيك
Éditeur: HACHETTE ANTOIN
Date de parution 14/06/2022
" Il est passé de la condition de " Palestinien étranger " à celle de " Syrien immigré " et en a extrait des deux une catégorie qu'on pourrait qualifier de " victime universelle ". Dans les deux cas, il s'est rapproché de l'" expatrié total ", qui se réfugie dans le tréfonds de son être et se contente d'un isolement amer. " Fayçal Darraj, quotidien Al-Hayat. Le récit tourne autour d'une suite de r... Voir la description complète
17,00€
Disponibilité Disponible
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CARACTÉRISTIQUES
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9786140600140
Date de parution14/06/2022
Poids240 g
Dimensions1,00 x 14,50 x 24,00 cm
Common books attribute
ÉditeurHACHETTE ANTOIN
FormatLivre broché / couverture souple
Langue du livrezx
AuteurSalim Al-beikسليم البيك
Nombre de pages208
Description
" Il est passé de la condition de " Palestinien étranger " à celle de " Syrien immigré " et en a extrait des deux une catégorie qu'on pourrait qualifier de " victime universelle ". Dans les deux cas, il s'est rapproché de l'" expatrié total ", qui se réfugie dans le tréfonds de son être et se contente d'un isolement amer. " Fayçal Darraj, quotidien Al-Hayat. Le récit tourne autour d'une suite de relations amoureuses, à Paris, entre le personnage principal, Samir, et deux jeunes femmes. La première est Hadil, une Française d'origine palestinienne qui tient une galerie d'art dans la capitale, la seconde, Louise, une peintre française qui exposera par la suite ses tableaux dans la galerie de Hadil. Bien que toutes deux se connaissent, elles sont loin de soupçonner que chacune d'elles a pour amant Samir, le Palestinien qui a obtenu le droit d'asile en France, et elles n'en auront connaissance que bien plus tard. Le roman soulève de nombreuses questions relatives à la dispersion d'un peuple, et à l'influence de l'identité sur les relations interpersonnelles, où l'obsession de l'origine palestinienne demeure omniprésente, y compris dans le caractère de Samir, censé être libéré de l'image classique du réfugié. Car ce dernier a traîné avec lui jusqu'au Paris contemporain l'histoire de son grand-père, exilé du village de Tarshiha, en 1948.