Traitement en cours...
Paramètres d'accessibilité

La Bataille d'Alger

Denis Sébastien
Éditeur: GREMESE
Date de parution 30‏/01‏/2025
La Bataille d’Alger raconte un épisode de la guerre d’indépendance algérienne : la traque par les parachutistes français des membres du FLN dans la Casbah d’Alger le 1er octobre 1957. Le film se focalise sur Ali la Pointe, jeune voyou devenu héros populaire, mort avec trois autres jeunes militant/e/s algérien/ne/s dans le plasticage par l’armée d’une maison de la Casbah et revient, à travers un lo... Voir la description complète
19,50€
Disponibilité Disponible
Délais de livraison Expédié sous 2 à 3 jours ouvrés
CARACTÉRISTIQUES
Nom d'attributValeur d'attribut
EAN9782366773941
Date de parution30‏/01‏/2025
Poids256 g
Dimensions0٫90 x 14٫20 x 20٫50 cm
Common books attribute
AuteurDenis Sébastien
SérieLes films sélectionnés
ÉditeurGREMESE
Nombre de pages106
Langue du livreFrançais
FormatLivre broché / couverture souple
Description
La Bataille d’Alger raconte un épisode de la guerre d’indépendance algérienne : la traque par les parachutistes français des membres du FLN dans la Casbah d’Alger le 1er octobre 1957. Le film se focalise sur Ali la Pointe, jeune voyou devenu héros populaire, mort avec trois autres jeunes militant/e/s algérien/ne/s dans le plasticage par l’armée d’une maison de la Casbah et revient, à travers un long flash-back, sur les éléments qui ont amené à cette explosion finale. Mais Pontecorvo met aussi en scène les actions des parachutistes, leur pratique intensive de la torture et leur avancée dans la compréhension et la déstructuration du FLN. Une fois celui-ci éteint fin 1957, le film montre un autre soulèvement populaire en décembre 1960, annonciateur de l’indépendance algérienne en juillet 1962. Un film d’une grande force visuelle et sonore, dans lequelle le cinéaste italien G. Pontecorvo invente un « néo-réalisme algérien » : avec une esthétique aux frontières du documentaire, il fabrique un film à la gloire du FLN et de ses militants, basé sur les souvenirs de Saâdi Yacef et soutenu par une splendide musique originale d’Ennio Morricone.